jeudi 11 octobre 2012

le tunnel du Malpas


Suite des pérégrinations familiales aux abords du canal du midi, 
le "TUNNEL DU MALPAS".

Le tunnel du Malpas se trouve au pieds de l'Oppidum d'Enserune, site nationale gaulois daté entre VI siècle avant JC et le 1er siècle. transformé actuellement en site archéologique et en musée.
Le terme de "Malpas", viendrait de "mauvais pas", en effet le canal se trouvera confronté à une falaise infranchissable.
Il  fallut donc creuser un tunnel. Ce dernier mesure 173 mètres de long pour 6 mètres de haut, largeur 8,5 mètres. Mais ce qu'il fait son attrait viens de 2 facteurs : 
- le premier viens de la roche, du Tuf, roche friable sujette a éboulement. Malgré les oppositions de ces chef et même de Colbert, Pierre-Paul de Riquet fait la sourde oreille et réussit a finir les travaux à temps. Ils durèrent de 1679 à 1680. Mais il fallut qu'en mème renforcer la voute sud-est avec une seconde batie.





















- Le deuxième, viens du fait qu'en ce lieu, aujourd'hui, 3 tunnels se chevauchent.

En effet, le tunnel supérieur est celui creusé par Riquet pour le canal du midi. Au dessous passe une ligne de chemin de fer creusé au XIXeme. Et encore en dessous, le tunnel de drainage de l’étang  de Montady, datant du XIIIeme siecle, reconnaissable par sa forme circulaire et ces canaux de drainage tous en direction du centre, a l'image des parts de tartes.


Trois tunnels sous une colline d'environ 50 mètres de haut.


 




les écluses de Fonserannes

On peut etre montagnard et aimer les belles réalisations Humaines; Humaines avec un grand "H".
Le site des Neuf Écluses de Fonserannes fait partie , entre autres, de ses nombreuses choses que j'ai découverts à la fin de l'été, lors des vacances familiales, dans le secteurs de l’Hérault.
 Tout commence il y a très longtemps, l’Empereur Auguste eu l'idée folle de vouloir relier l’Atlantique à la Mer Méditerrané. L'idée fut reprise par Charlemagne, François 1er et Henry IV. Mais il fallut attendre le règne de Louis XIV pour que le rêve devient réalité. Le canal devait rendre le passage des marchandises plus sur que par le détroit de Gibraltar, contrôlé a l'époque par le royaume d'Espagne mais aussi par les pirates. Le caractère politique et militaire a joué aussi un rôle car a chaque passage, le royaume d'Espagne prélevait une taxe servant a enrichir la couronne.

L'étude du projet commença en 1662, et ce fut Pierre-Paul De Riquet qui le mena a son terme en 1681 après 12 ans de travaux.

Sur ces 240 km, la conception du canal dû faire face a de nombreux obstacles comme "le tunnel du Maupas"que l'on verra prochainement, le pont canal sur l'Orb, et surtout le site de Fonserannes qui avec un déniveler de 21 mètres formait un point noir sur le tracé.
Pierre-Paul de Riquet conçu alors, un système avec 8 écluses successive afin de rattraper cette dénivellation.
  


les bateaux empruntaient a l'origine les 8 écluses pour passer du canal au cour réel de lOrb.
mais vu le caractère impétueux du fleuve, en 1854, il fallut dévier le la fin du canal par la création d'un pont-canal. La création de ce dernier obligea a fermer définitivement la dernière écluse.















Les bateaux actuels de plaisances, mettent environ 45 minutes pour franchir les 7 portes.
 
 

 un bon site pour allez plus loin sur le canal du midi : http://www.canalmidi.com/index.html

vendredi 1 juin 2012

une bien belle ballade

un jeudi matin, une journée comme les autres commence; arrivé au travail, café et oh surprise, nous vla ti pas partis, pascal et moi cherchez des bagages au Vacanciel de Font d'Urle pour des d’écoliers des Maristes de Bourg de Péage, faisant la traverser du Vercors d'ouest en est.
Après bavardage avec les institutrices, on appris que le lendemain, vendredi, ces dames sont avec nous sur la journée pour une rando découverte sur les crêtes de Vassieux.
Le rendez vous est pris pour le lendemain 9H30.

Vendredi matin départ 9h45 du centre de la Gélinotte, en car, en direction du lieu dit "La patte d'Oie" sous le col de Vassieux.
10H00 c'est parti pour cette journée que Pascal et moi souhaitons inoubliable pour nos petits camarades de ballades.
Direction le col de Vassieux pour leurs faire prendre conscience de la vue qui s'offre a nous.










En passant  prés de ruines, une explication s'impose sur cette présence humaine: c'est un ancien relais pour les voyageurs d’antan qui arrivaient du Diois et repartaient pour le Vercors.


Arrivés sur les crêtes, une vue magnifique nous apparait; a droite les trois becs, en face, la montagne de Couspeau, et au fin fond, le géant de Provence : le Ventou
Mais il faut déjà repartir. Une petite côte devant nous puis on arrive au But de l'Aiglette, (1524m)


 au fond le roc de Toulaud, avec au pied le plateau d'ambel, passage du premier jour.

Arrivé au but, petite pause hydratante, en attendant les autres et l'heure du pic-nique.
Une fois que tout le monde est là et reposés, tout ce petit monde repart en direction de l'endroit du pic nique tant mérité, sous l’œil perçant des vautours fauves.






Repas tiré du sac appréciés de tous puis petit moment de détente pour tout le monde.

puis redémarrage  vers 13H15 en direction du col du Rousset ou le car nous attends à 15H00. direction donc le col de Chironne et sa vue imprenable sur le plateau de Vassieux. les institutrices eurent l'idée de faire marcher les enfants pieds nus, le terrain se prête a cette objectif, et la chose fut faite.
 au passage quelques fleurs nous illuminent de leurs beauté : narcisse des poètes,

                                           la tulipe sauvage, emblème du parc du Vercors
                                      
                                                  la jonquille mais sous une forme hybride




Cependant, le temps tourne très vite et les premiers tonnerres se font entendre. le pas s'accélère mais le passage du col demande une pause appuyée.
puis la descente continue sur la "voie Romaine" qui n'a rien de romaine. Au passage, dans un sous bois claire de fayard, l'odeur agréable de "l'ail des ours" vient jouer avec notre sens olfactif puis gustatif.


 Arrivé dans la dernière ligne droite, le ciel, clément jusque là, déversât sur nos chères têtes blondes, des seaux d'eau. On a eu juste eu le temps de se mettre a l’abri dans le tunnel du Rousset, pour que la pluie stoppa aussi vite quelle commença.

Tout ça pour dire que c'etait une bien belle rando.



























jeudi 23 février 2012

Première sortie de la saison.


Il est vrai que ce n'est pas la première fois que je met le nez dehors pour une ballade depuis mon opération du croisées, mais la c'est plus qu'une ballade : une vrai randonné hors des pistes et du monde.
En cette exceptionnelle journée de février, il a été impossible de résister à l'appel des "hauts plateaux"; du soleil, de la neige, et du temps libre. je pris donc les skis et j'ai dit "Banco". Direction le plateau de beurre à 20 minutes de la maison.
Comme matos, j'ai choisi cette fois les BC90 en 179 monté en NNN avec des Fischer BCX 6.  


Départ 10h du parking de Beurre, en direction  du pas des écondus. A la monté, l'usage des peaux est indispensable, sinon c'est la version pédestre de la rando.
Arrivé en haut, à coté du Chalet Pointu, les choses sérieuses commence, "La descente". Je décide, malgré les contres indications, de garder les peaux, pour me ralentir en descente, vue les conditions de neige.






La descente se passe bien et la remonté du vallon des Econdus aussi.
Arrivé au col, au dessus de pre peyret, a gauche toute de façon a choper un passage au pied de la tête de la Graille. 



Puis direction la plaine de la Queyrie 

et son arbre charismatique.
 










































Puis 13h30 sonne, c'est l'heure de revenir pour ne pas finir trop tard. le retour s’effectua par le même parcours, trace oblige, c'est moins dure de suivre des traces déjà faites. Surtout en descente avec les changements brutaux de neige, fraiche puis gelée en passant par de la croute, que du bonheur et des chutes. 
arrivé au parking et à ma tant aimée voiture sur les cout de 16h00.
Anecdote cocasse : le matin, en partant, je décolle avec un couple et on se suit jusqu'au Econdus. Au retour, qui s'est que je retrouve? le même couple et on se retrouvent a l'endroit précis ou l'on s'est quittés la veille. Drôle non !!!
a bon entendeur, salut.

Voici le parcours : 

 


















mercredi 4 janvier 2012

aujourd'hui, l'essai du RAINER de chez ATOMIC
 
Apres le boulot, a 17H00, je me suis dit qu'il était dommage de ne pas profiter des 15 cm de neige fraiche de la veille. Un seul hic, mon genou va t'il tenir le choc? (Opération des ligaments croisées fin septembre) 
Pour le savoir, il va falloir le tester donc tout doux pour une premiere.
Et me voila en train de m’équiper : tout d'abord, les chaussures, rossignol BCX9 en 41, ma pointure. je les sens un chouilla grande en longueurs mais mon talon et le reste du pied est bien tenu.
Puis viens le moment de choisir les skis. mon choix se porta sur les rainer d'Atomic, qui ont une assez bonne presse, en 169, ma taille quoi. les RAINER sont très taillés en forme "taille de guêpe" (87 - 60 - 78), a essayer donc.
Et me voila parti sur un sentier d'habitude utilisé par les raquettes. le temps est froid mais le coucher de soleil en vaut la peine.
 


 ce que j'en pense : 
Malgré de bonnes conditions de temps, froid et sec, j'ai eu un peu de mal a trouver de l'accroche, des que cela monte un peu, le ski glisse et perd de l’adhérence. Cependant, vu le froid, la neige n'avais pas trop transformée et la sous couche était gelée a cause de la pluie de la veille. j'ai apprécié la stabilité de ce ski qui met me confiance dés qu'on le chausse. 
au final, j'aurais peut être du prendre plus grand pour avoir plus de portance mais atomic n'a pas pus me les fournir malgré une commande au moi de mai.
a refaire .